Prénom : Andreï
Nom : Kiev
Âge réel (physique au besoin) : âge réel : 467 ans/ âge physique : 17 ans
Race et royaume : Vampire, royaume des morts
Maître de : on verra
Physique :
je devins vampire à dix-sept ans. Ma croissance était terminée depuis un an, je mesurais un mètre soixante-cinq. Mes mains sont aussi délicates que celles d’une jeune femme, et je n’ai pas de poil au menton, ainsi que nous disions à l’époque, au seizième siècle. Je ne suis pas un eunuque non, il s’en faut beaucoup, mais un jouvenceau. La mode voulait alors que les jouvenceaux fussent aussi beaux que les jouvencelles. A présent seulement, j’y attache de l’importance, parce que j’aime mon physique. Ma peau, est blanche comme neige, et mes cheveux blond constellés de rosée son aussi long et bouclés qu’étaient ceux de mon géniteur, emplis de lumière erratique et rebelles quand ils sont humides, la même rosée s’accrochait à mes sourcils pâles et assombrissent mes longs cils, recourbés sur mes yeux bleu de cobalt. J’ai tout d’un physique nordique, froid, dont ma chevelure, malgré la beauté lumineuse, tirait plus sur le doré, et mes et où mes yeux à jamais prismatiques se gorge des couleurs environnantes devenant d’un violet magnifique à la moindre provocation d’un monde adorateur. En moi, l’on peu voir les cieux ensoleillés du Nord sauvage, des iris dont le rayonnement constant rejette toute teinte extérieure. Fenêtres parfaites ouvertes sur une âme elle aussi des plus constantes.
Caractère :
Que dire de mon caractère à par qu’il est mien ? Changeant comme les vagues, parfois doux, parfois dur, cassant ou caressant… je peux être doux et aimant comme l’agneau offrant mon amour et ma protection contre l’amour et le respect du réceptacle, mais je peux aussi être dur et violent, arrachant la vie d’un regard, laissant montée en moi le sang de tous les innocents tués par le perçant de mes crocs depuis ma création et exploser le flot de la rage pouvant détruire et tuez le monde lui-même… mais l’on ne peut réellement connaître mon caractère, qu’en me connaissant moi-même…
Autre :
Je suis quelque peu, télékinésisthe et télépathe… je peux déplacer les choses avec ma pensé ou faire étouffer un homme d’un simple regard tout comme de ce même regard je peux savoir ce qui se cache au plus profond de vos êtres….
Histoire :
Vous voulez donc connaître mon histoire ? Et bien soit, vous allez la connaître. Mais par ou commencer ?.... peut être par les circonstances qui m’on fait devenir vampire…
Mon histoire commence à Constantinople. Sous domination turque depuis peu. Je veux dire par là que la cité était passé aux Maures moins d’un siècle avant que je n’y fusse amené en tant qu’esclave, une fois capturé dans les contrées sauvages de mon pays, dont je connaissais tout juste le nom : la Horde d’Or.
J’étais à cette époque un peintre renommé dans ma région Russe. Peintre des icônes dans notre petite communauté j’avais décidé de livrer ma vie au seigneur et après avoir fait mon devoir sur cette Terre de me faire enterrer vivant pour le rejoindre dans son fief. La vie en aura voulu autrement. Mon père, chasseur voulait que suive sa trace et que je devienne un véritable homme comme il aimait à l’exprimer mais je me sens attirer par les voies du seigneur. M’emmenant un jour dans les steppes Russe pour livrer une de mes icônes il compter m’apprendre à chasser l’ours et le renard mais une fois encore, mon destin était déjà tracé. Chevauchant dans les steppes blanches et désertiques de la Sibérie je galoper vers mon destin. L’icône dans un drap de laine était protégé des aléas du temps tandis que je suivais mon père. Ma mission était de placé cette icône dans le creux d’un arbre afin que les Tartares, envahisseur de notre pays voient à quel point Dieu était puissant. Malheureusement l’aventure ne se passa pas exactement ainsi. Moins d’une demi-heure de cheval de mon point d’arrivé, nous fûmes mon père et moi attaquer par les Tartares. Je galopais altruiste tandis que mon père faisait tout pour les retenir mais ce ne fut pas assez. Les Tartare me surprirent et tandis que je luttais pour maitriser ma monture, l’icône me chut des bras. Le tissu qui l’enveloppait s’était relâché. Je continuai ma route encore et encore, le panneau de bois tombant derrière moi, dégringolant la colline, tournoyant, rebondissant d’un coin sur un autre tombant, tombant, le chiffon de laine s’en écartant. Le radieux visage du christ apparu. Les Tartares eut me capturèrent et la seule vision que j’eus à cet instant fut celle de mon père chevauchant à travers la steppe, silhouette puissante vêtue de cuir, l’épée attachée à la ceinture, les jambes pliées, les bottes usées, craquelées, fermement engagées dans les étriers. Il partait vers la gauche, s’élevant et s’abaissant avec grâce au rythme des longues enjambées de sa blanche monture. A ce moment je prononça pour la dernière fois de ma vie de mortel des mots de ma langue natale…
-« Très bien, abandonne-moi, espèce de lâche, d’insolent, de misérable ! »
Je fus emmené par les Tartares et me retrouva à Constantinople. Quant au voyage, je n’en ai aucun souvenir. Sans doute me viola t on sur le bateau, ne me rappelant pas le voyage. Je ne rappelle pas avoir eu faim, froid, honte ou peur.
Néanmoins, je finis à Constantinople.
Les souvenirs m’avaient était arrachés, en même temps que le langage ou la capacité de raisonner. Je me rappelle les pièces sordides qui furent à mes yeux Constantinople car d’autres parlaient, et pour la première fois depuis une éternité, depuis que j’avais été dépouillé de toute mémoire, je comprenais ce qu’ils disaient. Ils parlaient grec, bien sûr, ces commerçant qui vendaient des esclaves aux bordels d’Europe. La religion n’était rien pour eux alors qu’elle était tout pour moi, quoique très floue. Je fus jeté sur un épais tapis d’Orient, luxueux ornement tel qu’on en trouvait dans les palais, présentoir réservé aux marchandises de prix.
Mes longs cheveux étaient humides ; on les avaient brossés au point de me faire mat. La moindre de mes possessions m’avait été arrachée. J’était nu sous une vieille tunique en tissus d’or éraillé, dans la chaleur et la moiteur. La faim me taraudait, mais comme je n’avais aucun espoir d’être nourri, je savais que cette douleur mourrait d’elle-même après avoir atteint son point culminant. La tunique qui m’arrivait aux genoux, me donnait sans doute une splendeur ternie, l’éclat d’un ange déchu avec ses manches amples.
En me remettant sur mes pieds, nus, bien sur, je vis les hommes qui m’entouraient et sus ce qu’ils voulaient. Le vice. Un vice méprisable, dont le prix était l’enfer. C’est à ce moment que je découvrit pour la première fois le viol dans ses moindres détails……la graisse puante, les chamailleries, les jurons devant les restes de l’agneau. Un sentiment d’impuissance hideux, insupportable, m’envahit. Je rugis tel un animal à la face du marchand qui me pénétrait mais rien n’y fit. Il fit son acte et ensuite m’emmena sur son épaule et me jeta nu sur une estrade à la vue de tous pour me vendre. Je fus l’objet de nombreux débats et disputes au sein de la foule mais finalement je fus acheter par un groupe d’étudiant de mon âge, forts beaux et fort aimables, qui après m’avoir vêtu m’emmenèrent auprès de leurs maitre, et par la même occasion du mien.
Ce maitre était magnifique. Vêtu de velours rouge, d’une taille splendide. Ses cheveux blonds, séparés par le milieu tels ceux d’un saint, tombaient en vagues luxuriantes sur ses épaules, où ils ornaient sa cape de boucles lustrées. Nulle ride ne déparait son front lisse, Ses hauts sourcils droits quoique dorés, étaient assez foncés pour lui conférer un air calme et décidé. Ses cils arques semblaient effleurer les paupières de leurs fils d’or sombre. Lorsqu’il sourit, ses lèvres furent soudain envahies d’une teinte pale qui ne rendit que plus visibles leurs formes pleines.
Il était magnifiquement beau et séduisant et je me laissai emporté par lui jusqu’à sa demeure, florentine plus que magnifique. Là, je fus lavé et eut le droit à une fellation de par mon maitre qui me fit un immense plaisir me mettant en confiance pour la suite.
Comme tous les autres apprentis j’appris à lire, écrire, compter, et on m’apprit également un art, qui fut celui de ma vie russe, la peinture. Je devins un des meilleurs élèves en peinture de Marius mais également son amant de chaque soir. Ce ne fut qu’après plusieurs années que j’appris qu’il était vampire et je gardais le secret assistant parfois à ses repas voyant les yeux de ses victimes se floutez avant de se fondre dans une douce mort. Si seulement j’avais imaginé que je ferai la même chose un jour…
Ce fut peut après mon dix-septième anniversaire que ma transformation s’effectua. Je tombait malade d’une maladie à l’époque incurable, et mourrait à petit feu. Marius qui n’avais pas le cœur à me voir mourir me transforma en une magnifique cérémonie. IL me mordit puis, se blessa le cou et me demanda de mordre et de boire. Nous fîmes cela à tour de rôle puis je m’endormis laissant la vie s’échapper de mon corps pour renaitre sous ma forme vampirique…
Dès lors je devins plus musclé et puissant, j’appris à voler, à me fondre dans les ombres et surtout à charmer mes victimes pour boire leurs sang et parfois avoir un peu de plaisir charnel avec eux. J’avais totalement tourné le dos à ma vie religieuse et prenez la vie de ce qui croisez mon chemin sans concession, le seul problème fut qu’ils furent un jour découvert, la demeure fut détruite et tous les apprentis furent tués. J’étais moi de sortie cette nuit là et ne savait rien de ce qui se passez mais à la maison Marius tentait de défendre sa fratrie mais fut bruler vif et mourut me laissant seul orphelin vampirique pleurant sur les cendres nocturne d’une vie qui jusqu’alors m’avait toujours plut.
Des ce jour, je me mis à arpenté le monde, visitant les plus grand lieux du monde et cherchant d’autres personnes de mon espèce. Paris, Londres, Amsterdam, Dublin, Vienne… Toutes ses villes regorgées de richesse de bien être mais aucune n’abritait une personne de mon espèce. Ce n’est qu’au bout de quatres siècles que je trouvais une terre nommé zandanek ou nombre de personnes de mon espèce vivait. Je décidais de m’établir la bas, vampire centenaire et plus cruel de tous je ne me fis que peut d’ami et certain esclaves que j’aimais à accueillir mourrez sous mes crocs tandis que d’autres retrouvez leurs liberté spirituelle sous les coups… mais je me sentais seul et décida de me trouvez partenaire…
Sam 26 Juil - 16:39
